top of page

LE CLOS SAINT-JOSEPH

 

Est la maison mère de la Communauté des Apôtres de la Paix.

​

Elle rassemble plusieurs états de vie (familles, célibataires et consacrés).

Dans un esprit de simplicité, les personnes vivent la mission à travers la prière, l’accueil, les sessions et les journées louange.

 

 

 

UN PEU D'HISTOIRE

​

La partie centrale de cette grosse maison bourgeoise fut construite sur le domaine de Gouttenoire à la fin du XIXème siècle. Ce domaine avait appartenu à la riche famille des COTTIER, bourgeois lyonnais, qui, pour se protéger de la foudre avait érigé la croix qui se trouve à l’entrée du chemin d’accès à la maison en 1748. En 1780, ils vendirent leur domaine à Noël MATAGRIN, notaire à Saint-Laurent-de-Chamousset, capitaine châtelain et lieutenant de juge du marquisat de Fenoyl et terres de Sainte-Foy-l’Argentière, Lafay et la Chenevatière, procureur fiscal de la baronnie de Chamousset, déjà propriétaire de nombreuses terres dans des villages de la région.

​

Le domaine passa ensuite à sa fille Claudine qui épousa en 1788 Maître Jean-Claude BERGER, notaire royal et des actes à Saint-Laurent-de-Chamousset, puis à leur fils cadet Francisque BERGER.

​

Les deux petites ailes qui la flanquent des deux côtés ainsi que le grand solarium qui borde le jardin sur la droite furent érigés lorsque la maison devint, sous le nom de la Villa Saint Joseph, un sanatorium pour femmes, dirigé par les sœurs « Paponnettes » (du nom de l’Abbé Papon qui les avaient instituées), entre les deux guerres.

​

Après l’invention de la pénicillline et la réduction de la tuberculose, la Villa Saint-Joseph devint une maison de repos avant de fermer à la fin des années 1970. 

 

Depuis le milieu des année 1980, elle est occupée par la Communauté catholique des Apôtres de la Paix sous le nom de Clos Saint-Joseph.

bottom of page